Reporters Sans Frontières : « Les journalistes ne meurent pas , ils sont tués».

Dans la dernière partie de son texte résumant le bilan de l’année 2024, Reporters Sans Frontières (RSF) a tiré la sonnette d’alarme face à l’ampleur des violences commises  sur les journalistes à travers le monde.

Dans ce contexte, le Syndicat de la Presse Privée de Guinée (SPPG) a tenu à rappeler la situation alarmante des journalistes guinéens. « Nous pensons à notre Habib Marouane, enlevé le 3 décembre dernier, et à tous les journalistes guinéens en difficulté », a déclaré le SPPG.

Pour en savoir plus, lisez ce texte !

« … Les journalistes ne meurent pas, ils sont tués ; ils ne sont pas en prison, des régimes les y ont jetés ; ils n’ont pas disparu, on les a enlevés. Ces crimes, souvent orchestrés par des gouvernements ou des groupes armés, bafouent le droit international et demeurent trop souvent impunis. Nous devons faire bouger les lignes, nous rappeler, nous citoyens, que c’est pour nous, pour nous informer, que les journalistes meurent. Continuons à compter, à nommer, à dénoncer, à enquêter, à faire en sorte que justice soit faite. La fatalité ne doit jamais triompher. Protéger ceux qui nous informent, c’est protéger la vérité. »

Thibaut Bruttin, Directeur général de RSF

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