L’évaluation des partis politiques en Guinée : « Ce n’est ni une question de préférence politique, ni une pression de l’État »
Après l’évaluation des partis politiques qui a conduit à la dissolution de 53 partis politiques et la mise en surveillance obligatoire de 54 autres pendant trois mois, et les 67 partis qui seront sous observation, selon le rapport final présenté par le ministère de l’administration du territoire et de la décentralisation, le ministre porte-parole du gouvernement Ousmane Gaoual Diallo est revenu sur cette décision.
Pour le porte-parole parole du gouvernement guinéen « Cette démarche vise à renforcer la démocratie guinéenne dans son ensemble, pour que chaque voix compte » a précisé Ousmane Gaoual Diallo avant de préciser également que « l’évaluation n’est ni une question de préférence politique, ni une pression de l’État. Tous les partis sont soumis aux mêmes règles »
Dans son texte publié sur le réseau social Facebook, le ministre des transports a aussi souligné que la priorité de l’État est de « garantir un cadre politique structuré, où les règles sont respectées par tous les partis sans exception et où chacun agit avec responsabilité »
Ces partis politiques seront-t-ils en normes avant les prochaines élections présidentielles ?
𝐒𝐨𝐮𝐥𝐞𝐲𝐦𝐚𝐧𝐞 𝐓𝐚𝐭𝐚 𝐁𝐚𝐧𝐠𝐨𝐮𝐫𝐚 𝐩𝐨𝐮𝐫 le 𝐆𝐛𝐚𝐢𝐤𝐚𝐧𝐝𝐣𝐚𝐦𝐚𝐧𝐚.𝐜𝐨𝐦
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