Édito: « Tel une ombre fidèle, le passé finit toujours par nous rattraper. » (Par Facely enquêteur Sanoh)
Dans les méandres du temps, le passé de l’homme se tisse comme une trame invisible, mais jamais oubliée. Tels des échos lointains, nos actions résonnent à travers les âges, influençant le présent et façonnant l’avenir.
Le destin de l’humanité semble inéluctable : le passé finit toujours par nous rattraper, tel une ombre fidèle, nous rappelant nos triomphes et nos erreurs. Cependant, cette réminiscence constante nous invite à transcender nos faiblesses et à embrasser le pouvoir de la rédemption. Car si le passé peut être un fardeau, il peut aussi être un enseignement précieux.
C’est dans cette dualité que réside la clé : ceux qui choisissent de faire le bien, armés de la sagesse acquise par les leçons du passé, éclairent le chemin vers un avenir meilleur. Chaque acte de bonté, chaque geste altruiste devient un acte de réparation, une manière de défier les démons du passé et de bâtir un monde imprégné de compassion et de justice.
Aujourd’hui, l’histoire vient de rattraper l’ex-président guinéen, le capitaine Moussa Dadis Camara, et ses coaccusés, avec une condamnation à de lourdes peines. Cet événement doit servir de leçon au dirigeant actuel de la Guinée, le général Mamadi Doumbouya.
Car c’est dans ces moments de générosité que nous trouvons notre véritable essence humaine, notre capacité innée à transcender nos limites et à nous élever au-dessus de nos erreurs passées. Que chacun se souvienne : le passé peut être un rappel implacable, mais il est aussi le terreau fertile où fleurissent les graines du changement.
En semant des actes de bonté aujourd’hui, nous façonnons un avenir où les cicatrices du passé sont guéries par l’amour et la compassion, où chaque être humain trouve sa place dans un monde empreint de rédemption et de renouveau.
Facely enquêteur Sanoh, Éditorialiste !